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SECOND TOUR

SECOND TOUR

Journaliste politique en disgrâce placée à la rubrique football, Mlle Pove est sollicitée pour suivre l’entre-deux tours de la campagne présidentielle. Le favori est Pierre-Henry Mercier, héritier d'une puissante famille française et novice en politique. Troublée par ce candidat qu'elle a connu moins lisse, Mlle Pove se lance dans une enquête aussi étonnante que jubilatoire.

Une satire drôle, rythmée, touchante, jubilatoire.

(Me) l'offrir !
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REALISATEUR

Albert Dupontel

ACTRICES ET ACTEURS PRINCIPAUX

Cécile de France, Albert Dupontel, Nicolas Marié

PAYS

France

FILM BONHEUR
25 octobre 2023

ANNONCE

LA BANDE

CARRE AU FORMAT AFFICHE 120 x 160 - 330

ADRENALINE, MYSTIFICATION, COMEDIE POLICIERE

A partir de 

13-15 ANS

L'AFFICHE

Au-delà du pamphlet politique et surtout philosophique, Second tour est un grand moment de cinéma, une jubilation, c’est profond, humain, intelligent, révolutionnaire. C’est un film profondément écologiste, sans jamais être dogmatique ou dans une approche punitive boboïsante. Car c’est en fait la poésie qui s’impose à chaque dialogue, chaque image, chaque situation.


Le film n’oublie pas pour autant de porter un regard acerbe sur le système médiatique et les terrifiants enjeux de pouvoir élyséen, politiques et financiers. C’est au vitriol, mais jamais dans la violence ou la gratuité. C’est simplement un objet de lutte contre l’uniformisation, l’endormissement des masses mais sans jamais donner la leçon. Le film élève et nous porte. Il souligne simplement l’abêtissement cathodique, l’anéantissement du beau et du vrai, les artifices du paraître. C’est le retour non béat à la terre, à l’eau et à l’air. Le cinéaste malin, engagé et tellement créatif, parvient avec virtuosité à contourner les codes du classicisme dans la dénonciation du capitalisme carnassier.


La mise en scène s’inscrit dans le plus pur style de l’univers de Dupontel, influencé autant par Terry Gilliam que Charlie Chaplin. La folie de l’intelligence littéraire des dialogues, l’absurdité burlesque de tant de situations qui nous amène sur les chemins de l’hilarité soudaine et de la jubilation permanente. Le réalisateur n’est pas fan de l’univers de la bande dessinée par hasard. Avec cette splendeur formelle dans des jeux de couleurs sciemment jaunis, voire poussiéreux, mais le soleil jamais loin perce, la nature toujours là, flamboie. C’est une ode écologiste et humaine qui fend le cœur.


Dupontel nous éclaire mais ne nous abreuve jamais. Il glisse aussi subrepticement une romance assez universelle, mais là aussi sans lourdeur, ou sans avoir à le faire par nécessité. Elle est comme tout le reste, évidemment naturelle. Une histoire forcément contrariée, sinon ce n’est pas une histoire comme le souligne Dupontel : « Notamment des premières histoires d’amour qui n’aboutissent jamais mais laissent des cicatrices indélébiles. »


Et puis, il y a le pote. Il y a celui qui joue dans tous ses films. De ces acteurs autant discrets qu’ils nous sont subliminalement indispensables. Nicolas Marié, qui lui aussi dans Adieu les cons, nous avait tant séduit dans son décalage, tout en hurlant de rire avec son « Un handicapé ne va pas en prison !! « . Ici, il est toujours aussi juste, dans un rôle écrit sur mesure, afin qu’il donne la pleine mesure d’un talent qui ici rayonne. Il nous fait toujours autant marrer, tout en nous touchant l’air de rien en plein cœur.


Dans Second tour, Dupontel prolonge avec encore plus de poésie son art de l’utopie déjà si étincelante dans Adieu les cons. Il y met toute la profondeur de son âme, et que celle-ci est grande et forte. C’est un grand monsieur, un grand réalisateur… Dupontel président !!!

Critique facile (sur Allo-Ciné)

/ LA CRITIQUE

C'EST

VOTRE FILM BONHEUR !

disponible sur

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Les jamais-contents déplorent le rythme foutraque, les dialogues sans queue ni tête, le scénario pas toujours abouti, la naïveté du propos, voire le jeu des acteurs proche de la caricature. Et il se trouve que nous, c'est tout ce qu'on aime chez Dupontel. On n'est jamais déçu par ce Don Quichotte, ce révolté pathologique, par cette énergie dépensée à lutter contre des moulins, par cette dose d'amour envers le genre humain, injectée comme une drogue dure, peu à peu, et qui procure des effets psychédéliques forts au spectateur fasciné.
vidalger (sur Allo-Ciné)

Un film excellent dont on ressort à la fois ému, et touché par l'originalité du scénario, le formidable jeu des acteurs et cette histoire dont on aimerait en fait qu'elle se réalise. Où est notre Dupontel président ? Sous forme de fable, ce film en dit long sur la politique et notre société.
Balérie Pierson (sur Allo-Ciné)

Du grand Dupontel ! C’est fin, drôle, profond, engagé et même émouvant. Il y a plein de références et de traits d’esprits (excellent clin d’œil dans le nom du traiteur, par exemple). Parfois furtifs, les clins d’oeil sont pointus et font mouche.
Les personnages ne sont pas caricaturaux, on sent de la profonde tendresse et des caractères forts.
Le fond du propos est très bien amené et en filigranes, on voit le risque que prend un homme qui veut aller au bout de ses convictions. Sous un ton souvent léger, il dénonce le muselage des journalistes, les pressions qu’exercent les puissants, les dissimulations, les intimidations, les falsifications, etc.
Cécile de France est admirable et Nicolas Marié irresistible. Dupontel est vraiment un écorché vif qui donne tout et va au bout de ses convictions. La « double lecture » de ce film est poignante, il est magistral.
Sister-of-Night (sur Allo-Ciné)

J'ai adoré ce "Second Tour" qui n'est absolument pas le récit d'une campagne politique comme on pourrait s'y attendre a priori.
On retrouve dans ce film, comme dans toutes les œuvres de cet artiste, un scénario très original plein de surprises (quand on n'aime pas on dit "sans queue ni tête"), plein d'absurdité (sans s, au sens très positif du terme donc), plein d'humour. S'y ajoute ci, et peut-être plus que dans d'autres œuvres de Dupontel, beaucoup de sens, beaucoup d'avis personnels sur notre société, ce qu'elle est devenue, ce qu'elle est en train de devenir, sur plusieurs aspects, mais tout en messages subliminaux, en délicatesse. Et, s'y ajoute aussi, et peut-être plus également que dans d'autres de ses films, beaucoup de poésie, beaucoup de tendresse. Pour vous dire j'ai même essuyé une petite larme à la fin, sans trop savoir pourquoi, sûrement parce que c'était beau, tout simplement.
Z20070413154151920738494 (sur Allo-Ciné)

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